la responsabilité incomberait donc totalement à l’investisseur
Ces allégations se fondent sur quoi ?
Il est évident que si j’étais maçon et qu’un client me demandait de construire une tour penchée près d’une école par exemple, je continuerai la construction avec conscience professionnelle !!!!
Il semblerait tout de meme, qu’il existe une certaine fragilité aux eaux de pluie puisque 3 mois après la fin du chantier, le batiment était parterre, alors que des aménagements avaient été créé par les maçons VN. Le mur d’enceinte et les batiments annexes ont eux résistés en espérant qu’un trottoir ou une route goudronnée ne soit pas construite près de ces murs.
Pourquoi dans le cas présent avoir fait remplacé l’équipe VN de Boromo de début de chantier par d’autres maçons ?
S’agissant des maçons, pouvez vous nous dire qui leur procure du travail et qui par exemple les envoi sur certains chantiers hors du burkina ?
N’existe-t-il pas un planning au sein de l’association répertoriant les chantiers en cours ?
Je pose ces questions pour savoir s’il n’existerait pas des relations de patrons à tacherons : un lien quoi !
Le nombre de VN durablement construits n’est pas garant de futur sinistres : il serait bien imprudent de se fier à ce seul argument
Il serait plutot opportun de se demander si le suivi est à la hauteur du nombre croissant des constructions
L'histoire du chantier sur le site de l'auberge :
http://www.auberge-akilisso.com